2°/_ limitée en élévation, elle tracte le bateau vers l’avant et non vers le haut, exploitant ainsi la force éolienne au maximum.
3°/_ s’élevant par elle-même, elle n’a besoin d’aucun appareillage, notamment, d’un très coûteux mât d’élévation, pour sa mise en œuvre et sa récupération.
Les deux brevets qui la composent se complètent et se croisent à volonté en empruntant un ou plusieurs éléments du premier ou deuxième dépôt afin de constituer une voile répondant parfaitement à des critères d’efficacité et de maniabilité auxquels aucune autre voile volante de traction classique ne peut prétendre.
Puis d'un troisième, avec une voile de 20 m2 (à laquelle il manquait deux ballons, de la main d’œuvre et de l’espace aquatique pour que la démonstration soit parfaitement concluante), essai réalisé sur la Vilaine à Redon :
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Malgré leurs imperfections, mes trois prototypes montrent tous que ma voile :
_ A/ s'élève seule,
_ B/ reste en l'air par ses propres moyens,
_ C/ qu'elle adopte une position horizontale constante,
_ D/ que son horizontalité permanente la rend gouvernable en jouant sur les longueurs des câbles de traction bâbord ou tribord, ce qui était les buts visés par mes 2 dépôts de brevets qui se complètent l'un/l'autre.